« Douleurs écorchantes d’un manque cruel
Poignard saignant mon cœur
M’opprimant de noirceur, sur mes pensées si frêles.
Stupeur, l’espoir se referme sur lui-même,
Se cachant face à ce béant néant nourri de ma haine.
Le sang dégouline encore et encore, cherchant à rejoindre mes bras,
Désespérément.
Mes pupilles rongées par les regrets,
Les non-dits,
Les secrets. »