Ce récit romancé est le fruit de la mémoire de Victoria. Lorsque Victoria écrit son journal, elle dit « je ». Lorsque Victoria parle de sa vie, elle dit « elle ». Les deux sujets, « je » et « elle », se livrent, se regardent, se mêlent et sont indissociables. De même, les deux parties de cet écrit s’unissent en un cercle de vie. Deux parties qui se relient, se confondent, pierres ...