Description
En se retranchant dans la littérature, Nabil Kechikeche retrouve ces premiers et derniers bastions de l’humanité : le mot et l’expression. Pour lui, écrire par amour de l’autre, et non de soi, c’est redevenir universel, appartenir à nouveau à l’humanité tout entière. Car il en est convaincu : l’amour est le commencement de toute écriture.