Description
Amoureux des mots et essentiellement du bon mot, Serge Landau s’inscrit dans la lignée de Pierre Dac, le roi des loufoques, qu’il appelle affectueusement « mon maître soixante-trois ». À travers Lisl’hareng, il souhaite contribuer au développement des écrits de tous les comiques, jongleurs de mots et orfèvres de l’écriture.