« L’homme n’était pas forcément menaçant par son apparence, c’était un homme assez fin, au crâne rasé, il ne portait pas de barbe non plus, à bien des égards, il ressemblait au personnage par défaut que vous voyez parfois dans certains jeux vidéo auxquels jouent les jeunes. Il devait mesurer dans les alentours d’un mètre soixante-dix-sept, il était habillé de la même tenue que les autres détenus, à savoir une chemise orange et un jeans bleu.
— Alors, c’est lui Léonardo Cobb ? avais-je lancé, déçu.
— J’ai entendu dire que plus de la moitié de son corps était calciné, y compris ses empreintes digitales qui ont disparu.
— Qui lui a fait ça ?
— C’est ça le pire… Il s’est fait ça lui-même. »
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Florian Morice charge son encre de ses larmes de sang et se livre tout en faisant ressortir la noirceur qu'il y a en chacun de nous.